Dans un rapport publié ce 17 avril, l’agence des Nations Unies pour la santé sexuelle et reproductive (UNFPA) a conclu que les femmes africaines courent cent trente fois plus de risque de mourir de complications liées à la grossesse. Ce dit rapport remet en discussion les violations des droits de santé reproductive des femmes ce qui est à l’origine d’une augmentation des décès évitables.
Le rapport titré Interwoven Lives, Threads of Hope : Ending inequalities in sexual and reproductive health and rights (Vies entrelacées, fils d’espoir : mettre fin aux inégalités en matière de santé et de droits sexuels et génésiques) révèle que plus de la moitié des décès maternels fatales arrivent dans des pays où la situation de crise ou de détresse est très flagrante.
Si on relate les effets négatifs, il y a toutefois des améliorations si l’on en croit la Directrice exécutive de l’UNFPA, Natalia Kanem.
« En l’espace d’une génération, nous avons réduit le taux de grossesse non désirée de près d’un cinquième, diminué le taux de mortalité maternelle d’un tiers et obtenu des lois contre la violence domestique dans plus de 160 pays ».
Il faut aussi souligner que l’étude de l’UNFPA met en valeur l’importance d’adapter les programmes aux besoins des communautés et de donner aux femmes et aux filles les moyens d’élaborer et de mettre en œuvre des solutions innovantes.
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