L’Action et Justice pour l’Intégration des Femmes (AJI Femmes) une organisation œuvrant dans l’émancipation de la femme, se dit préoccupée par la crise que traverse le pays. Le 7 février 2022, le pays n’est pas doté d’un nouveau gouvernement comme cela aurait dû se faire. La présidente Edwine Blaise dans une note publique propose une sortie de crise avec les femmes engagées dans la solution.
A l’occasion du 7 février, date qui rappelle la fin du mandat constitutionnel du défunt Président de la République Jovenel Moïse assassiné le 7 juillet 2021, bon nombre d’entités de la société civile ont témoigné de leur préocupation et ont fait part de leur opinion à la crise qui sévit depuis des lustres dans le pays. L’Action et Justice pour l’Intégration des Femmes (AJI Femmes) a par le biais de sa présidente dans une note, opiné et proposé une solution à la crise.
Selon Ajifanm la sortie de crise doit commencer par un consensus quant au choix du président et un chef du gouvernement, qui d’ailleurs doit être une femme. Ces personnalités doivent être respectables et respectés et n’ont pas besoin d’être actives en politique.
Dans cette note, l’organisation a aussi plaidé pour l’inclusion des femmes qui ont décidé de prendre en main leur destin et ont décidé de dirigé ce pays d’une autre manière.
Elle a aussi sollicité de la part des acteurs actuels « une prise de conscience sincère » et prôner le bien-être collectif.
Plus loin, cette entité féminine a haussé le ton en envoyant : « un signal clair pour dire que nos ancêtres se sont battus pour notre indépendance et nous les femmes de cette nation, sommes prêtes à combattre ce système d’esclavagisme mental qui nous enlève pratiquement notre empathie, notre humanité ».
Pour conclure, Ajifanm a mis l’accent sur : » une entente nationale avec des gens visionnaires, responsables, intègres et patriotes, pour sortir le pays de cet abîme « .
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