Lors des catastrophes naturelles, les femmes et les enfants ont quatorze (14) fois plus de chances de mourir que les hommes. Ce nombre préoccupant a été divulgué il y a quelques années par l’ONU. L’une des choses qui les rendent encore plus vulnérables en plus d’être issues des quartiers défavorisés, ce sont les discriminations qu’elles subissent en raison de leur sexe.
Quand elles survivent ou sont déplacées après les catastrophes naturelles, qu’elles soient tremblements de terre, ouragan, tempête ou encore inondations, c’est à ce moment que les calvaires des femmes commencent. Plusieurs d’entre elles sont victimes de violences, d’abus sexuels et même de viols.
La dernière catastrophe en date est le passage de l’ouragan Dorian classé catégorie 5 aux Bahamas avec des vents et des rafales qui soufflaient jusqu’à 350 km/h/. Suite à ses averses, les premiers rapports faisaient état de près de treize-mille (13 000) maisons pourraient avoir été détruites ou endommagées et il a fait au moins cinq (5) morts.
La vie des femmes ne devrait pas être en danger à cause des discriminations basées sur le genre, leur sort ne devrait pas dépendre de leur provenance ni de leur classe sociale.
De ce fait, pour pallier à ce phénomène, des entités comme l’Organisation des Nations Unies (ONU) et le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD) ont décidé de mettre sur pied des projets sur l’autonomisation des femmes notamment par l’entrepreneuriat.
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