La publication ce lundi du 8 mars des photos de la demande en mariage du chanteur D-Perfect à la chanteuse Blondedy Ferdinand est certainement le buzz de ce lundi 8 mars. Des commentaires du genre « longue vie à deux », « Chak fanm ta dwe gen on D Perfect nan lavi yo » ont plu.
Mais cette demande dont les images sont publiées un 8 mars, journée internationale des droits de la femme est sans nul doute un montage de plus de ce duo friand du buzz pour préparer les esprits à l’issue imminente d’un projet artistique.
Mais un détail de ce coup de com n’est pas passé inaperçu dans le radar de quelques internautes avertis qui n’ont pas manqué de faire savoir leur opinion là- dessus. Il s’agit bien de la présence de policiers à ces fiançailles. En effet on voit sur les photos des agents des forces de l’ordre participer activement à cette demande de mariage. Et pour cause deux policières brandissent des bouquets de fleur. Un détail que beaucoup de personnes contestent.
La militante Antoinetre Duclaire ne mâche pas ses mots sur son compte Facebook pour critiquer ce qu’elle considère bien comme malsain : « Kidnapin, krim tout kote, nou pè pran lari epi nap gade polisye nap peye ak lajan taks nou nan fè ketez pote flè nan espektak gratis byenere ki pa itil peyi a yon mèd kap fè show off ».
Même son de cloche pour le journaliste Guerking Souffrant : “Si tout moun k’ap fè demand maryaj kontakte 3 a 4 polisye konsa pou pote flè pou yo . Yon mwa desanm lè anpil moun toujou ap marye nou ka sezi wè lari a blanch wi, tout lage yo nan pote flè ».
Beaucoup d’autres internautes pensent la même chose. Et vous dites-nous en commentaire ce que vous pensez du fait que des policières jouent aux demoiselles d’honneur à une demande en mariage d’artistes serial buzzers.
You may also like
-
Corventina est la nouvelle ambassadrice de la Sogebank
-
Martine Moïse demeure dans le collimateur de la justice haïtienne
-
Lourdjina Etienne sacrée meilleure joueuse du championnat U17 de la CONCACAF 2024
-
Mère Lalue ferme ses portes pour assurer la sécurité de ses occupants
-
La prison civile des femmes de Cabaret prise d’assaut par des hommes armés