Aujourd’hui est le 25 novembre. C’est la journée internationale pour l’élimination de la violence contre les femmes. Cette date marque aussi le début des 16 jours d’activisme contre la violence basée sur le genre. Cette année, elle est célébrée sous le thème global « Orangez le monde : Financez, intervenez, prévenez, collectez ».
Selon l’ONU, 1 femme sur 3 dans le monde a déjà subi des violences physiques et/ou sexuelles. Quand les actes sont posés, la société rend, le plus souvent, les victimes responsables de leurs malheurs en faisant des commentaires qui, par la même occasion, alimentent la culture de l’agression, du viol. « Elle n’a pas dit non ! », « Elle l’a bien cherché, vu ses vêtements ! », « Elle ne demandait que ça ! ».
La négligence, le manque d’assistance et la banalisation de l’acte sont des réactions qui pousse les victimes à restez elles, à ne pas parler et ne pas dénoncer car elles savent que leurs cas ne seront pas pris en considération. Soulignons aussi que les avis après acte ne se limitent pas qu’à cela.
Pour stopper cette routine infernale, la lutte pour l’élimination de la violence contre les femmes doit être un combat permanent, un combat de tous les jours et au jour le jour car des femmes se font constamment frapper, tabasser et même tuer.
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