Ce 11 janvier 2024, Gabriel Attal, premier ministre français fraîchement nommé, a divulgué la composition de son gouvernement. Parmi les noms des 14 ministres, on compte 7 femmes.
Avec la venue du nouveau gouvernement français, plusieurs femmes font leur entrée ou sont maintenues dans l’équipe dirigeante. Il faut souligner que certaines sont désignées ministres délégués.
Prisca Thévenot a été nommée porte-parole du gouvernement. Marie Lebec est désignée ministre chargée des relations avec le Parlement et Aurore Bergé est la nouvelle ministre chargée de l’égalité entre les femmes et les hommes et de la lutte contre les discriminations.
On retrouve également Amélie Oudéa-Castéra qui est à la tête du ministère des Sports et des Jeux olympiques et paralympiques de France. Rachida Dati est la nouvelle ministre de la culture. Catherine Vautrin est désignée ministre de la santé et enfin Sylvie Retailleau qui est est reconduite à la tête du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche.
Si le gouvernement compte sept femmes, cela n’empêche que des débats se font concernant le respect de la parité homme/femme. De plus, tous les ministères dits régaliens, en d’autres termes ceux qui sont du ressort exclusif de l’État, sont tenus par des hommes.
Après la publication des noms des nouveaux ministres, la députée écologiste de Paris, Sandrine Rousseau a peu de temps après réagi sur X, anciennement Twitter.
« Aucune femme sur un ministère régalien. On est bien là, à la fraîche, décontractés de la grande cause », a-t-elle souligné alors que le chef de l’État, Emmanuel Macron, a fait de l’égalité femmes-hommes, la grande cause de ses mandats.
You may also like
-
Lancement de la 18e édition de ‘’Haïti en Folie’’ à Montréal
-
Kamala Harris récolte 81 millions de dollars en 24 heures après avoir rejoint la campagne présidentielle
-
Une femme à la tête de l’économie britannique
-
Une vidéo de Rihanna, avec des gestes et des paroles envoûtantes pour taquiner son compagnon, cartonne sur les réseaux sociaux.
-
Journée mondiale pour l’élimination de la violence sexuelle en temps de conflit, un défi à relever