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Téléphone cassé, coups ; la journaliste Lovelie Stanley Numa agressée physiquement par deux individus

La Présidente-Directrice Générale du média en ligne « Impulse WebMedias » Lovelie Stanley Numa a été agressée physiquement samedi par deux individus considérés comme des prétendus journalistes. Son téléphone a été cassé et d’autres dommages ont été causés. La travailleuse de la presse s’apprête à présenter l’affaire devant la justice pour ce que de droit.

C’est lunaire et surréaliste ! La journaliste bien connue Lovelie Stanley Numa s’est faite agresser physiquement par deux prétendus confrères qu’elle a clairement identifiés en photo. Ces derniers se disent tout simplement journalistes sans des bases solides pouvant corroborer leurs dires.

Tout cela s’est produit à Delmas, Carrefour de l’Aéroport, alors que la journaliste était en plein reportage. Elle avait à interviewer le frère Luckson, responsable d’un orphelinat, ainsi que les 40 enfants à sa disposition qui ont pris la fuite en raison de la violence inouïe sévissant à Lilavois, la zone où se trouve l’orphelinat.

De nombreux journalistes se regroupaient autour des enfants et de Frère Luckson dans le but de prendre leurs déclarations sur la situation. L’atmosphère avait tout d’un tohu-bohu sans fin. Les journalistes ne se contrôlaient plus et posaient des questions pas pertinentes ou encore mal coordonnées ou non cadrées avec le contexte de l’événement. C’est à ce moment que Lovelie Stanley Numa nous confie avoir décidé d’intervenir.

« Pourquoi vous posez une question et empêchez au monsieur d’y répondre. En l’interrompant de la sorte, vous risquez de troubler son fil d’idée », a demandé l’initiatrice de Impulse Web Média à l’un des journalistes. « Ces attitudes non professionnelles affichées par ces individus ne font aucunement honneur au métier », nous confie-t-elle dans une entrevue peu après les faits.

Il s’agissait de la remarque de trop. Elle a donc attisé des regards dédaigneux, redoutant ce qui allait se produire. Elle a donc été agressée avec brutalité par Jean Edson Dérosier et Jean Jean Marc. Son téléphone a été brisé au passage. La journaliste a été sévèrement touchée à l’un de ses postérieurs. Des coups qui lui procurent encore des douleurs.

Il a fallu l’intervention de l’un de ses confrères pour que le martyr prenne fin. Elle qui a passé tout son temps à dénoncer derrière son micro et avec sa plume les agressions verbales et physiques subies par les journalistes ou de simples individus. Ce samedi, elle était plutôt celle qui s’est faite agresser.

Sans perdre de temps, Lovelie Stanley Numa a mis ses avocats au diapason en vue de traduire ces individus par devant les tribunaux. Aussi, elle s’est rendue à la Direction Centrale de la Police Judiciaire pour y déposer plainte. Du coup, elle attend la suite de cette affaire.

« Merci beaucoup pour les signes de solidarité de tous les confrères et consœurs de la presse après l’incident survenu au carrefour de l’aéroport. Je suis indignée choquée par cette situation en dépit de mes efforts pour ne pas en arriver là », a écrit hier l’ancienne journaliste de Vision 2000.

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