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Des israéliennes s’inquiètent du sort de leurs proches otages du Hamas

Une guerre s’est éclatée une nouvelle fois entre l’Etat d’Israël et le Hamas le week-end dernier. Le Hamas qui avait frappé en premier, a enlevé une centaine de personnes, selon les autorités israéliennes, parmi lesquelles de nombreuses femmes. Des proches se préoccupent du sort qui leur est réservé.

L’inquiétude grandit de plus en plus chez les proches d’israéliennes devenues otages du Hamas. Des séquences vidéos font le tour de la toile. Parmi les nombreuses femmes enlevées, il y a Shani Louk, étudiante germano-israélienne de 22 ans dont le corps à moitié nu est exhibé à l’arrière d’un pick-up. D’autres images montrent une autre fille blessée sortie par les cheveux du coffre d’un 4×4. Cette dernière s’appelle Noa. Agée de 25 ans, elle est embarquée de force lors d’une rave-party sanglante, près de Gaza, selon les explications de la presse internationale.

Le co-locataire de Noa attend désespérément de ses nouvelles. Il se dit abasourdi du nombre de femmes enlevées : « Il y en a beaucoup, des jeunes, des plus âgées ». « Je n’arrête pas de me demander ce que ces terroristes cruels vont faire à mon cousin Avinatan. Et encore plus à sa compagne Noa, car on le sait, pour une femme, ce peut être pire », confie Yadid, 30 ans, au journal Le Parisien. Selon lui, il s’agit d’« une guerre psychologique ».

Des experts n’ont pas pu vraiment déterminer le sort qui serait réservé aux femmes car, selon le géopolitologue Frédéric Encel, auteur de « Les Voies de la puissance. Penser la géopolitique au XXIe siècle » il n’y a jamais eu d’otages israéliennes depuis 1948 ». Toutefois, de son avis, le Hamas partage la même idéologie que Daech.

« Pour eux, des femmes tatouées, percées, de plus israéliennes, qui se déhanchent dans un festival, c’est l’horreur absolue », prévient-il.

D’autres grandes personnalités montrent aussi leurs inquiétudes après autant de femmes enlevées par le Hamas. L’ancienne ministre française des Droits des femmes, Laurence Rossignol, craint le pire, même des viols en série.

« C’est une arme de guerre et au regard de la barbarie que le Hamas manifeste depuis ces dernières heures, ces craintes sont sérieuses. Ce genre d’actions suppose une déshumanisation de leurs auteurs, et donc de leurs victimes », a t-elle déclaré tirant la sonnette d’alarme par rapport à la situation.

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