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« Mouka », le répertoire virtuel gratuit sur le genre et les droits des femmes haïtiennes

Dans un communiqué de presse datant du 30 mars, plusieurs organisations dont l’observatoire sur le développement régional et l’analyse différenciée selon les sexes (ORÉGAND) ont lancé Mouka, un espace de documentaire sur le genre et les droits des femmes haïtiennes.

La question du genre et les droits des femmes haïtiennes prennent forme en Haïti. Compte-tenu du rôle d’un espace de documentation dans cet exercice, plusieurs organisations ont tenu à lancer un répertoire virtuel dénommé Mouka, à l’occasion des célébrations entourant la Journée internationale des droits des femmes.

« Cette nouvelle base de données offre un moteur de recherche recensant plus de 1300 références, telles que des livres, articles de revue, chapitres de livres, articles de journaux, mémoires de maîtrise, thèses de doctorat, rapports, fichiers audio, balados, vidéos et films », peut-on lire dans le communiqué.

En plus de dossiers thématiques inédits, Mouka regroupe l’information, tout en facilitant le partage de publications et leur archivage. La plateforme (mouka.ht) est une initiative importante qui vient combler certaines lacunes en ressources académiques francophones spécifiques aux droits des femmes haïtiennes. Sa mission est d’appuyer la recherche académique et, par la même occasion, d’encourager l’intervention et le plaidoyer, selon le communiqué.

Lors du lancement de ce répertoire, d’après le communiqué, la parole a été donnée à cinq chercheuses féministes de renom qui participent au projet. Danièle Magloire, Sabine Lamour, Tania Pierre-Charles, Célia Romulus et Denyse Côté. Elles ont abordé les questions liées à la recherche féministe en Haïti sous différents aspects.

A noter que Mouka (mouka.ht) est une initiative de l’Observatoire sur le développement régional et l’analyse différenciée selon les sexes (ORÉGAND) de l’Université du Québec en Outaouais (UQO), en collaboration avec Kay Fanm, la SOFA, le CRESFED et l’Université Quisqueya.

« Elle a été rendue possible grâce à l’appui financier du Centre de recherches pour le développement international (CRDI) », précise le communiqué.

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